DERECHOS HUMANOS EN EL CONTEXTO ACTUAL"
La bienvenida e inauguración estuvo a cargo de Aida Zhunio Samaniego del Frente de Mujeres Guardianas de la Amazonía. Luego Rosío Pérez Arévalo Presidenta del Frente de Mujeres Defensoras de la Pachamama, realizó el lanzamiento de la Cartilla No. 1 de Exigibilidad y Defensa de Derechos elaborada por la Comisión de Asuntos Jurídicos y de Protección de esa organización.
Antes de iniciar con las exposiciones se dio lectura a una carta dirigida a la Presidenta de las Defensoras de la Pachamama de parte de Guillermo Fernández-Maldonado, Asesor en Derechos Humanos del Sistema de Naciones Unidas en Ecuador, en la cual se expresa un reconocimiento a la labor que viene desarrollando la organización presidida por Rosío Pérez a favor de los y las defensoras de derechos humanos, lo cual “constituye un aspecto esencial del Mandato de la Oficina del Alto Comisionado de las Naciones Unidas para los Derechos Humanos”, se señala en la misiva.
Las expositoras coincidieron en que a pesar del reconocimiento formal de los derechos, su realización se ve impedida por múltiples aspectos, ente ellos la cada vez más fuerte CRIMINALIZACIÓN DE LA PROTESTA SOCIAL y de la labor que desarrollan las y los defensores para la promoción y protección de los Derechos Humanos, por parte del Estado y el gobierno.
Entre los asistentes estuvieron estudiantes y profesores de centros educativos, y representantes de varias organizaciones e instituciones vinculadas al quehacer de los Derechos Humanos en Azuay.
Las reflexiones y opiniones expresadas por las y los presentes fueron muy emotivas, y el sentimiento común fue el de reforzar la coordinación para aunar esfuerzos en la promoción y defensa los Derechos.
SUMMARY OF THE FORUM "CHALLENGES THAT WOMEN HUMAN RIGHT DEFENDERS HAVE TO FACE IN THE CURRENT CONTEXT”
Aida Samaniego Zhunio, a member of “The Guardians of the Amazon Women Front”, welcomed the people present and opened the Forum. Then, Rocío Pérez Arévalo, President of “The Women Defenders of the Pachamama Front”, presented the people present with the 1st issue of a booklet on Demands and Right Defense written by the Committee on Legal Affairs and Protection of the organization she belongs to. Before the different talks began, a letter to the President of The Women Defenders of the Pachamama from Guillermo Fernandez-Maldonado, Advisor on Human Rights of The United Nation System in Ecuador, was read. In his letter, he praises the task done in favor of human right defenders by the organization headed by Rocío Pérez, which "is an essential aspect of the Writ issued by the Office of the High Commissioner for Human Rights".
Gustavo Quezada, a member of the National Coordinator for the Defense of Life and Sovereignty (CNDVS), was the chairman. Ms. Gardenia Chávez, a member of The Andean Program for Human Rights of the Simón Bolívar Andean University, in her talk about the present context of the situation of women defenders in Latin America, pointed the need to demand that the rights become effective through the implementation of appropriate public policies, which in turn implies a greater awareness of the state's obligation to protect human rights and their defenders. On the other hand, Lina Solano Ortiz, a member of The Latin American Union of Women (ULAM), focused on the situation of Women Right Defenders in the mining conflict in southern Ecuador, and called on everyone to become actively involved in the defense of rights and give support to the efforts made by women's organizations, especially those that are in the crossfire of conflicts.
The different speakers agreed that despite the formal recognition of rights, their implementation is hampered by many aspects. The state and the government attack the SOCIAL PROTEST and the tasks in favor of the promotion and protection of Human Rights done by male and female defenders. Among those attending the meeting, there were students and teachers of different schools and representatives of several organizations and institutions related to the defense of Human Rights in Azuay.
The ideas and opinions expressed by those present at the forum were very moving, and they all agreed to strengthen the coordination in order to joint efforts to promote and defend our rights.
“ WE HAVE THE RIGHT TO DEFEND OUR RIGHTS"
RÉSUMÉ DU FORUM "LES DÉFIS POUR LES FEMMES DÉFENSEURES
DES DROITS HUMAINS DANS LE CONTEXTE ACTUEL''
L’Accueil et l’inauguration ont été faites par Aida Zhunio Samaniego du Front des femmes Gardiennes de Amazones. Rocio Pérez Arévalo présidente du Front des femmes défenseures de la Pachamama, a fait le lancement de l'annexe n ° 1 de .Pour la réparation et de défense mis au point par la Commission des affaires Juridiques et de la Protection de cette organisation
Avant de commencer les présentations, il y a eu la lecture d’une lettre à la Présidente de défenseures de la Pachamama adressée par Guillermo Fernandez-Maldonado, Conseiller en droits de l'homme des Nations Unies dans l'Equateur. Celle-ci exprime la reconnaissance par le travail accompli par l'organisation présidée par Rosio Perez en regard des défenseurEs des droits humains, ce qui "constitue un aspect essentiel du mandat du Bureau de la Haut-Commissaire aux droits de l'homme", note la lettre.
Au forum, animé par Gustavo Quezada membre de la Coordination Nationale pour la Défense de la Vie et de la Souveraineté – CNDVS. A participé Lcda. Gardenia Chávez du programme andin des droits de l'homme à l'Université Andina Simón Bolívar. Celle-ci a précisé que dans le contexte de la situation des défenseures des femmes en Amérique latine, il est nécessaire d'exiger que les droits en vigueur soient effectifs à travers la mise en œuvre de politiques publiques appropriées. Ceci implique une plus grande prise de conscience de l'obligation de l'État de protéger les droits de l'homme et leurs défenseurEs. Pour sa part, la Soc Lina Solano Ortiz de Union latino-américaine des femmes – ULAM, a centré sa présentation sur la situation des Femmes défenseures des Droits dans le conflit minier dans le sud de l'Équateur. Elle a appelé chacun à s'impliquer activement dans la les efforts de plaidoyer et de soutien aux organisations de femmes, en particulier celles qui sont dans la première ligne des conflits.
Les présentateurs ont convenu que, malgré la reconnaissance formelle des droits, leur mise en œuvre est entravée par de nombreux aspects, parmi lesquels le plus important fort est la criminalisation par l'Etat et le gouvernement de la riposte sociale ainsi que du travail développé par les defensurEs concernant la promotion et la protection des droits humains.
Parmi les participants étaient des étudiants et enseignants des écoles, et des représentants de diverses organisations et institutions liées au travail des droits humains dans Azuay.
Les réflexions et opinions exprimées par les membres présents ont été très émouvantes, le sentiment commun était de renforcer la coordination des efforts communs en regard de la promotion et la défense des droits.
POUR LE DROIT A DÉFENDRE NOS DROITS
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